Par Lilly Lou
Elle est là à me parler de sa poitrine, de son ventre gonflée et de ses envies de sexe. Elle ne s’est jamais sentie aussi femme me dit-elle. Femelle serait le mot juste. Tout en elle transpire la sexualité. Je ne l’ai jamais vu ainsi. Son parfum est âpre, son ventre sur lequel elle pose ma main est plein. Puis, il y a son énorme poitrine qui m’hypnotise. J’ai une envie folle de la téter.
Pourtant, les femmes, ce n’est pas mon truc. J’aime les queues bien dures qui se faufilent et m’enfilent. J’aime les claques sur ma croupe, le sperme qui dégouline. Bref, j’aime les hommes ! Pourtant, plus elle me parle, plus j’ai envie de plaquer mes lèvres contre les siennes. De planter mes doigts dans son sexe, de lécher son mont de Vénus, de me perdre dans ses poils. Je me raccroche au souvenir de l’amant que je viens de quitter, je pense à notre matinée passée à baiser. Et elle, me parle encore et encore. De quoi, je ne sais pas. Je ne l’entends plus. Je ne vois que sa bouche qui m’appelle. Ses lèvres bougent sans cesse et semblent me dire « prends moi », « prends moi ». Puis elle me regarde et commence à se déshabiller. Son pull d’abord, puis sa chemise qu’elle ouvre. J’ai envie d’elle si fort, que j’en avais mal au sexe. Je sens le désir monter. Elle dégrafe maintenant son soutien-gorge. Je regarde mes mains, je tremble.
C’est certain, elle sent mon émoi. Elle s’approche plus près. Encore. Mon cœur bat plus fort. Elle, mon amie de toujours, que sommes nous en train de faire. Elle est là, poitrine plantée devant mes yeux. Je n’ai qu’à poser mes lèvres pour engloutir son téton et m’en repaître. Je respire fort, trop fort. J’approche ma main, doucement et touche sa poitrine. Elle me la prend, la pressa contre son sein plus fort puis dit : « Tu sens cette grosseur là, ce ganglion. Je crois que depuis que je suis enceine mes hormones me jouent un drôle de tour. Ça doit être ça cette envie de sexe. »